Située au cœur de l'île, bien loin des campements, isolé de tout, se trouve le lac. Un espace d'une beauté à couper le souffle, on y arrive en suivant le serpentement du fleuve depuis les rivages de l'océan. Paisible, le lac est le lieu de reproduction de nombreux poissons, il fera le bonheur des explorateurs affamés arrivés jusqu'ici. Une petite cascade offre aux explorateurs un tableau idyllique. Amateurs de sensations fortes, pourquoi ne pas tenter de vous jeter dans le lac depuis le haut de la cascade, auquel on accède en grimpant une petite surface rocheuse, où les prises pour les mains et les pieds sont aisées. Méfiez vous cependant des rapides qui vous éloigneront du lac et risquent de vous noyer en vous emportant vers l'autre côté de l'île, là où le fleuve continue sa route.

Au cœur de la jungle derrière d'immenses murs en briques noircies par la végétation se dresse un bâtiment sinistre. Un portail bardé de piques effilés empêche d'accéder à cette étrange construction dont la présence sur l'île ne peut que surprendre ceux qui arriveront jusque là. Sur l'un des piliers soutenant l'immense grille, une plaque rongée par la rouille laisse déchiffrer à celui qui y promènera les doigts une inscription à vous glacer le sang : asile junglewood. Vous ne pouvez accéder à l'ancien asile, cependant des meurtrières percées dans le portail, là où des piques semblent ne pas avoir survécues à la rouille, vous permettent d’apercevoir ce qui semble être un espace de culture et... serait-ce des plants de pommes de terre ?

Tout près de l'Asile, il y a une zone vers laquelle il ne vaut mieux pas s'aventurer trop longtemps : le marais. Il n'est pas très grand mais son emplacement surprend un grand nombre de survivants qui ne se rendent pas tout de suite compte qu'ils ont les deux pieds dans la vase. Prenez également garde aux serpents de mer qui rôdent...

Les hauteurs de l'île sont difficiles à atteindre : il faut marcher de nombreuses heures dans la jungle afin d'arriver en bas de la pente menant au plus haut sommet. Il faut ensuite passer quasiment le même temps à grimper à pied, puis à escalader le derniers mètres. Mais une fois arrivé au sommet, la vue est imprenable et la hauteur permet de capter n'importe quel signal radio.