Il y a peu de débris sur la plage, quelques morceaux de la carlingue, mais le gros de l'arrière l'appareil s'est abîmé dans l'océan. Plantés dans le sable obsidienne, les débris du fuselage offre un rempart artificiel au soleil et aux embruns.

A quelques mètres seulement du rivage se dresse une partie de la queue de l'appareil, qui a sombré à demi dans l'océan. Et si certains de ceux qui se sont retrouvés piégés dans l'appareil après le crash ont réussi à quitter l'appareil en train de sombrer, certains y sont encore pris au piège et la queue de l'appareil est devenue leur tombeau. Ceux qui se risqueraient pour récupérer des ressources qui pourraient leur être précieuses devront cohabiter avec ces victimes du crash qui n'ont pas pu être sauvées.